C’est la deuxième fois !!!

C’est donc la deuxième fois que cette voiture immatriculée AN 033 SP me dépasse comme une merde. Un véhicule arive en face et toi tu veux passer !!! La première fois j’avais pas la vidéo donc pas de preuve. A un moment la route faut la partager, je roule tranquillement à vélo sur la voie publique en passant les 3/4 du temps sur les pistes cyclables. Donc le peux de temps où j’y suis, ce serait bien de se comporter correctement en voiture et ne pas se rabattre sur le cycliste au dernier moment parce qu’un autre véhicule arrive en face. Essaye juste d’anticiper ou d’utiliser la pédale du milieu qui sert de frein

 

J’ai pas spécialement encore envie de me faire faucher par une voiture qui arrive dans mon dos à au moins 80 km/h. En sachant que j’ai déjà été éjecté de ma moto à 43 m du point d’impact par une voiture qui arrivait à 110 km/h dans le brouillard alors que moi en face j’étais qu’à 70 km/h

 

 

Coup de klaxon inutile !!!

Le coup de klaxon sert à prévenir en cas de danger, dans la vidéo de ce matin j’aimerai savoir à quoi il a servi à part m’effrayer au risque de me faire chutter. Le ou la conductrice de la voiture DA 136 ZB est vraiment entrain de jouer comme un enfant avec la vie des autres. Je savais qu’une voiture arrivait grâce à mon radar Garmin Varia et cette personne aurait dû prévenir bien plus tôt et pas en coup de klaxon aussi long. La distance de 1,50 mètre est bien respectée.

Le cycliste est-il en sécurité sur nos routes ?

Encore un exemple de plus, à peine parti, la première voiture 148 ANX 67 qui arrive, déboîte sans clignotant pour me dépasser. Cet automobiliste n’a sûrement pas vérifié son angle mort au moment où la voiture se déporte !!! Les lignes rouges représentent l’écart d’un mètre cinquante qu’il faudrait laisser entre le cycliste et le véhicule hors agglomération. Bon on va pas chipoter si c’est un mètre quarante hein !!! Mais le pire, c’est que personne n’est arrivé en face au moment du dépassement. Alors qu’avons nous comme solution pour pouvoir rouler tranquillement sans risquer nos vies ??? Les pistes cyclables c’est très bien, mais il faut y arriver vivant.

1,5 m vélo

Voilà comment les chauffards se comportent !!!

La balade du dimanche matin est de plus en plus risquée. Les automobilistes sont prêts à vous renverser parce vous les avez fait ralentir. En prime une queue de poisson pour bien vous montrer que c’est « leur » route alors que personne n’arrive en face. Je vous laisse juger par la vidéo ci-dessous le comportement de l’automobiliste immatriculé DX-570-GK. Bon vu que j’ai qu’une caméra à l’arrière on ne voit pas la queue de poisson, mais je vais pas encore en rajouter une autre !!! Déjà les lignes rouges sur la vidéo c’est un mètre de distance autour du vélo. On est hors agglomération et la distance à respecter est 1,50 m. Le plus violent c’est le « geste » de vouloir attenter à notre vie par plaisir ou parce qu’on est à la bourre pour l’apéro

 

 

 

1,5 m vélo

De plus en plus risqué sur la route

En général je suis sur les pistes cyclables, mais je dois passer par la route pour y accéder. Des voitures il y en a de plus en plus et elles nous font prendre des risques importants :

Erreur
Cette vidéo n’existe pas

Faire du vélo pour surmonter le handicap

Dimanche 2 septembre, dans le cadre de l’exposition « De la roue à la bicyclette », des personnes en situation de handicap ont témoigné comment la pratique du vélo leur a permis de surmonter leur déficience physique.

 

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Deux malvoyants , Yves Wansi et Nicolas Linder, ont présenté l’association « Vue d’ensemble ». Créée par de jeunes déficients visuels, cette association a pour objectif de militer contre la sédentarisation des déficients visuels. Son concept est de « mélanger malvoyants, non-voyants et voyants de tous les âges, de tous les horizons, seuls ou en famille, afin de partager la diversité de nos regards ». Mais c’est surtout l’exemple de Gérard Muller qu’ils ont tenu à mettre en exergue. Cet ancien pharmacien de Merkwiller-Pechelbronn qui a perdu la vue à l’âge de 50 ans suite à une rétinite pigmentaire aurait dû être présent à la Maison rurale, mais à cause du décès récent de son épouse, il n’a pas pu venir. Malgré son handicap, ce non voyant a accompli de nombreux exploits sportifs tel le pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle, une marche de deux mois et demi réalisée en 2011 à l’aide d’un GPS monté sur sa canne blanche. Mais c’est à bicyclette, en tandem, une machine très bien adaptée à son handicap, que cet homme particulièrement courageux a accompli ses plus grands exploits, entre autres un Paris-Pékin (12 000 km) en 2008 et un Pékin-Londres (14 000 km) en 2012.

« Une véritable thérapie »

C’était ensuite au tour de Cédric Belenfant, de Soultz-sous-Forêt, de se présenter. Suite à un accident de la route à moto en 2005 (il avait alors 28 ans), il est atteint d’hémiparésie, un déficit partiel de la force musculaire touchant la moitié gauche de son corps. « Mon bras gauche est totalement paralysé et ma jambe gauche n’a que 8 % de sa force musculaire. Pour moi qui n’avais jamais fait de vélo avant l’accident, cet exercice est devenu une véritable thérapie, tant physique que mentale, explique-t-il. Lorsque je suis à vélo, je me sens bien, je n’ai pas de douleurs ! » Sur une bicyclette adaptée à son handicap, l’homme de 41 ans parcourt entre 5 000 et 6 000 km par an. Son bras gauche paralysé étant fixé au guidon, c’est avec le seul bras droit qu’il change de vitesses, actionne les freins et la selle télescopique qui lui permet de mettre les pieds au sol à l’arrêt. Un petit film vidéo a permis de le voir à l’œuvre sur les pentes du Soultzerkopf. « J’ai également fait le mont Ventoux et cela sans pouvoir tirer sur mes bras ! », ajoute-t-il. Les connaisseurs apprécieront !

1 000 km par an

Didier, un autre handicapé, a lui aussi apporté son témoignage. Ce sportif accompli haguenovien a été amputé de la jambe gauche suite à une rupture d’anévrisme en 2014. Avant son accident vasculaire, il pratiquait le tennis, le basket et le vélo. Aujourd’hui il ne fait plus que du vélo. Sur sa machine à trois roues avec assistance électrique, il parcourt 1 000 km par an.

Au fond de la cour, un autre cycliste s’était installé. Etienne Letscher, ancien coureur régional de la Pédale de l’Est, est aujourd’hui dirigeant de club et mécanicien amateur. Assis derrière un petit atelier improvisé, il a fait une démonstration de rayonnage d’une roue, une opération technique délicate réservée aux cyclistes expérimentés.

DIMANCHE 9 SEPTEMBRE, un cycliste racontera ses aventures lors de son pèlerinage sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

 

Extrait DNA du 07/09/2018